Les-vieilles-de-notre-temps

Les-vieilles-de-notre-temps

POMPEI chap1

En ce moment, je regarde une huppe perché sur un arbre. J'ai vécu tellement de choses en ces 101 518 ans... Cette huppe me rappelle une vieille histoire remontant il y a de cela longtemps. C'était un jour d'hiver, j'avais était prisonnière car mon peuple avait perdu face aux romains. Au moment où l'on m'avait envoyé dans la carriole, une huppe similaire à celle-ci m'avait regardé. Elle me fixait du regard comme si elle me méprisait. Puis elle siffla 4 note : un La, un Do, un Si puis un Sol.

Arrivée dans la carriole, je m’asseyais à côtés d'un vieille homme et de Monique, mon ami d'enfance.

  • As-tu vu Ginette ?

  • Oui, ne te fais pas de soucis, elle est dans une autre carriole avec Roger et Alypius.

  • Que va-t-il nous advenir ?

  • La mort, me répondis un jeune homme du nom d'Asterix.

  • Retourne boire tes boissons sale alcoolique !

  • Nicolette ! Calme toi, me dit Monique, cet homme n'a plus toute sa tête depuis la mort de sa femme, sois plus compréhensible.

Je ne répondis rien à cela. D'ailleurs il n'y avait rien à répondre car Monique avait raison, Asterix et devenu alcoolique après la mort de Safame. Le voyage dura 5 jours et nous arrivions enfin à Pompéi. Je descendis en tenant Monique par la main quand une femme énorme me fit tomber par terre. Celle-ci rit. A en voir son armure, c'était une gladiatrice, ce qui est plutôt rare. Elle faisait bien 2 mètres de haut et à en voir son ventre, elle devait pas passer tout son temps dans l'arène.

  • Viens Omus laisse cette petite.

  • J'arrive Zahir.

Un garde m'obligea à avancer, heureusement pour Omus car je lui aurai sans aucun doute fais manger le sol. D'ailleurs, le sol... Celui-ci était recouvert de pavé blanc. J'aperçus Ginette avec Roger et rejoignis leur rang. Nous nous dirigions vers une place qui devait être la principale de Pompéi. Un homme vêtu d'une toge s'avança et clama haut et fort :

  • Prisonnier ! Je m'appelle Urticus. Ayant été opposé à nous, vous devrez maintenant nous servir en tant qu'esclave. Les acheteurs ne tarderont pas à arriver, je vous demande donc de vous placer selon votre pays : Gaule à gauche, ensuite je veux Carthage, les Nègres puis les tueurs.

Je me plaçai sur l'estrade et serrai fort contre moi la main de Monique. Un premier acheteur arriva et choisi un Nègre. Peu de temps après, la place était remplie de personne en furie. Monique fut bientôt acheté par un citoyen et celle-ci pleura toutes les larmes de son corps. Je lui serrai le bras et la retint avec moi mais l'acheteur tirait sur Monique de toute ses forces. Je descendis et lui mit un coup de poing dans le nez. C'est alors qu'Urticus m'empoigna le bras et me jeta sur l'estrade. Un autre homme me regarda de près et me dit :

  • Comment t'appelles-tu ?

Je ne répondis rien, j'avais une haine immense contre Pompéi.

  • Urticus ! Combien la jeune fille agressive ?!

  • Le prix que tu voudras ! Je ne tiens pas à avoir de soucis à cause d'elle !


26/03/2014
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1939-1945 (ep 10)

Mon réveil est brutal, la branche cède sous mon poid vers 8 heures du matin.

Je tombe sur le dos est l'air de mes poumons s'expulse en  moins de deux, Edward accoure vers moi :

- Nicolette ! Ca va ? 

- Oui, très bien, ça va ...

- Je lui ai dit pour Roger , renchérit Ginette, et pour le reste, pour tout, dont l'histoire de la pierre de Jovermaude....

La pierre de Jovermaude est une pierre ayant le pouvoir de transformer les millénaires en sècles, les siècles en décénies et les décénies en années. Tout ça physiquement. En apparence, je n'ai que 21 ans mais en vrai j'en ai 101 446 ainsi que Ginette. Nous avions trouvé la pierre à l'age de 13 ans en -99 517 avant le bon et noble Jésus Christ, notre sauveur, puisse accepter Monique au paradis ... Bref, nous avions trouvé cette pierre et Monique l'avait touché la première et nous à tour de role , certes c'est bien pratique car nous vivons longtemps mais...... voir toutes les pesonnes que l'on aime mourir les unes après les autres ne procure pas de plaisir.

Je la regarde perplexe, pourquoi l'a t elle dit ?

- Oh ça va, de toute manière on ne survivra pas à cette guerre, dit Ginette en voyant mon regard.

- Je sais gardé un secret Nicolette, dit Edward sur la défensive.

- Je n'en doute pas , dis je ironiquement. 

Nous continuons la marche en amont, la foret semble progresser sur la montagne ce qui est un bonne nouvelle.

De temps en temps, nous entendons le rugissement de Mororat le Troll, elle se rapproche tout le temps ....

Au soir, nous nus arretons devant une maison : similaire à celle de Kenza


31/12/2013
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1939-1945 ( ep 9 )

Je n'hésite pas, ma flèche part droit dans la gorge de l'homme et contourne le buisson découvrant un vrai champ de bataille. Ginette me prends dans ses bras avec Edward à ses trousses :

- On part ...

-- et Moni...

- Pas le temps, ajoute Edward, on s'enfuit avant de mourir !

Et nous courrons dans la foret, j'ai laché mon faisan pendant mon combat contre l'homme restant sans nourriture pour la nuit. Nous nous arretons au bout de plusieurs minutes de course :

- Ils sont tous mort ? demandé je avec un sanglot coulant sur la joue .

- On a vu Ophilie se diriger vers la foret...

- Non laisse, on est plus que trois maintenant... La coupé je.

- Nicolette ... continue Edward, On a fait ce qu'on a pu....

Apres m'etre endormit dans le chene, je reve, je reve du visage de Monique riant, un pinceau à la main en train de peindre un portrait d'Audile.....................


30/12/2013
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1939-1945 ( ep 8 )

J'encoche ma flèche, je suis morte de peur à l'idée de devoir affronter le Troll. Ginette ouvre la marche, un coutelas à la main, Monique elle, se contente de suivre la marche en lachant de temps en temps un "tic toc" . Nous empruntons un couloir sombre au parquet en bois moisie. Nous entrons dans une salle obscure remplie de sang, le plus effrayant de tout cela, c'est que des gens son emprisonné dans des cages suspendu dans les aires. 

- Que ce passe-t-il ici ? demanda Ginette

- Les clés, les clés ! dit un vieil homme à l'allure aux allures d' SDF. 

Sa main désigne un gros sac à patate. Ginette l'ouvre et y trouve un trousseau de clé en bronze.

-Oui, c'est ça ! renchérie une femme borgne.

Nous délivrons les 8 détenus, parmis lesquelles : Edward, un jeune homme blond aux cheveux en pétard, Erika la femme borgne et René un homme de la quarantaine.

Les 8 prirent des couteaux et des hachoirs que l'on trouve en abondance dans le cachot.

Audile, une femme muette, nous désigna une porte et l'ouvrit grace aux clés amassés.

Nous sommes dehors, à l'air libre.

 

- Et le Troll ? me demanda Ginette.

- Ce n'est pas grave, partos tant qu'il en est encore temps.

 

Nous prenons la route vers des montagnes qui se situe à quelques jours de marche pour voir les terres en altitude. Des les premieres heures de marche, un tronc s'écrase sur Phillipe, le compagnon d'Erika. Le tronc ne le tua pas mais celui ci restait bloqué. Ginette estima que lui tranché la gorge serai nettement mieux pour lui. Personne ne s'y opposa sauf Erika qui supplia Ginette de le laisser, qu'il s'en sortirait. Au lieu de ça, Ginette poussa Erika, mais la borgne tomba sur une pierre et se brisa le coup. Je ne sais pas ce qui arrive à Ginette, mais c'est derniers temps, elle change. Elle devient plus violente, moins attentionnée, moins ouverte.

Elle acheva Phillipe et nous repartons pour une journée de marche dans la foret.

Nos travaux sont faciles et répartit : Ginette va chercher du bois au soir, je chasse et apporte l'eau des ruisseaux, les deux droguées Maettis et Ophilie tisse les lits, Edward allume les feux, le vieil homme breton dépèce les animaux que je tue, Monique monte la garde et Audile aiguise les armes.

Parmis nous, tout le monde est armé mais seulement 4 d'entre nous savent manier des armes : 

Ginette et son coutelas, moi avec mon arc, Edward avec sa hache et le vieux breton se débrouille bien avec la fronde qu'Audile lui a faite .

Au bout du deuxieme jour de marche, nous nous mettons à nos travaux respectifs . Donc, je pars chasser. La foret est sombre et donc très pratique pour se cacher et observer la nature. Je me cache derriere un buisson et attends quelques minutes. C'est alors qu'un faisan surgit d'un buisson en marchant. J'encoche ma flèche et lui tire dans la gorge. Celui ci mourut sur le coup. Je le ramasse et vais le mettre à ma ceinture quand un coup de feu retentit. Ce coup de feu vient du feu de camp que nous avons allumer. J'arrive dans le petit espace dégagé que nous avions trouvé mais ne trouve personne . Hormis Audile qui sort d'un buisson en rampant et l'homme arrivant apr derrière lui enfonçant le couteau dans le coeur.

 


30/12/2013
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Haa.. Francette

 

Bonjour a toutes et a tous ici Monique, comment allez vous je vais vous monter une video de francette une vielle vielle amie de couvent à nous 3.

 

Ecouter surtout de 0:28 à 0:33.

 

Halala sacrée Francette.

 

Cliquez ici pour voir Francette

 

 

 

 

 

Monique GALAN


08/11/2013
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